vendredi 15 février 2013

Les deux collines

Quand je regarde par ma fenêtre  je vois des arbres, quelques petits bosquets, sur la colline d'en face.

Il y a quelque temps je suis allée voir ces arbres de l'autre coté. Je n'ai pas pu m'approcher tout près de ce bosquet qui pousse tout en long. Un champ détrempé m'empêchait de m'y aventurer.

Jamais avant je ne les avais vu d'aussi près. J'ai aussi vu l'autre colline, la mienne. Mais pas ma fenêtre, ni ma maison. Je pense que les arbres peuvent me voir travailler, eux.

10 commentaires:

ELFI a dit…

une travailleuse acharnée...
un petit repos hivernal fait du bien!
bises

Daniel a dit…

Par delà la glèbe retournée les arbres te regardaient.
C'est tout de même plus agréable a regarder qu'une foret de cheminées.
Bonne journée A + :o)

claude a dit…

Tu devrais venir chez moi, c'est tout plat !

claude a dit…

Avec tes belles bottes en caoutchouc.

Alain a dit…

On voit quand même un bâtiment, genre pigeonnier...à moins que ce soit le haut d'un immeuble situé dans la vallée.

hpy a dit…

Alain, c'est un immeuble.

Claudia, je préfère un paysage vallonné, bien qu'il soit plus fatigant à la marche ou à vélo - et je suis bien servie ici.

Daniel, d'accord!

Elfi, je travaille entre les pauses.

beatrice De a dit…

Pas de neige ?
Ici, je me prive de ping-pong ayant la flemme de passer 1/2 heure à débarrasser mon pare brise de la neige gelée.
Sur les hauteurs, où Eli habite, cela doit être pire.

hpy a dit…

béatrice De, pas de neige! Nous en avons eu trois fois (je crois), ma première fois elle est restée un peu, les autres quelques heures. Mais nous avons de l'eau à en revendre. Pour pas cher!

Ina a dit…

Avarat maisemat lepuuttavat sielua!

Thérèse a dit…

Les arbres sont de bons compagnons solides et quand on est tout prêt ne pas oublier de s'y adosser, on sent leur force. Vivement que le soleil en sêche le chemin qui y mène pour toi.