lundi 30 avril 2012

Quel foutoir!

La campagne présidentielle avance, et plus ça avance, plus j'ai l'impression que ce n'est qu'une mauvaise bouffonnerie.

Des vieille histoires - inventées ou non, on ne sait pas, d'ailleurs on s'en fout - font surface, les uns et les autres sont traînés dans la boue, et personne ou presque ne s'occupe des programmes des candidats.

Je ne pense jamais avoir vu une campagne d'un aussi bas niveau, nulle  part, même dans des démocraties naissantes, et pourtant l'Europe - dont la France fait partie - a souffert, souffre et souffrira encore d'une situation économique qu'on ne pourra appeler bonne, même en y mettant beaucoup de bonne volonté.

Je ne prétends pas que les candidats eux-mêmes soient à l'origine de tout ce qui se trame. Derrière des ragots de toute sorte se trouvent sans doute des gens "bien intentionnés"  mais s'il vous plaît, montez un peu le niveau de la campagne au lieu de nous prendre tous pour des demeurés!

Le pire, c'est que le futur président de la république risque d'être élu sur des bases complètement erronées.

On se croirait à la maternelle.

Pardon les enfants, même vous, vous êtes plus sérieux.

dimanche 29 avril 2012

Un ti lutin

Je vous présente Sacha, trois ans.

Sacha est le petit frère de Clément, également appelé le Bézot, copain de Foufou II.

Il y a quelques temps (j'ai l'impression que c'était dans une autre vie) il est venu à la maison avec le Bézot, à savoir son frère Clément, le pote de Foufou II.

Après avoir réussi à faire un petit câlin à Néfertiti sans que celle-ci ne bouge, il s'est hissé sur le canapé pour se faire photographier. Il parait qu'il aime ça.

J'ai dit à Sacha qu'il avait des oreilles de lutin, ce qui ne l'a pas fait réagir du tout, mais a fait plier le Bézot en deux, tellement il rigolait.

Pourtant j'étais très sérieuse.


Et voici les deux frères. L'aîné s'occupe très bien de son cadet.



vendredi 20 avril 2012

Une petite crise d'allergie

Je ne suis pas candidate à une élection présidentielle quelconque, mais je suis quand même présidente de mon propre blog, alors je vous dois une explication à mon absence.

J'ai tout simplement chopé une crise d'allergie, pire que toutes celles que j'avais déjà connues auparavant, même la fois où j'ai fini à l'hôpital, sous oxygène, pour avoir voulu plumer un pigeon. (Comme si je n'avais pas pu me contenter de le plumer de ses sous!)

Ca a commencé comme d'habitude, vendredi dernier en début d'après-midi, des éternuements en série et un écoulement nasal déshydratant. Il faut beaucoup boire, quand cela arrive. De l'eau de préférence. Pas de pineau des Charentes. De toute façon, on n'en a pas envie.


Pour ceux qui n'ont jamais connu une crise de rhinite allergique, et qui auraient, on peut le comprendre, tendance à dire qu'une "petite allergie, ce n'est pas bien grave", je vais essayer d'expliquer comment cela se passe.


Après le stade où vous avez utilisé des dizaines, non, des centaines de mouchoirs, sans  pour autant améliorer la situation, vous vous apercevez que votre nez est brûlé, extérieur comme intérieur, par cet écoulement incolore, pire qu'un acide.


Vous arrêtez de vous moucher et vous continuer à remonter grand-père au grenier, sans aucun effort d'ailleurs, car c'est automatique. Vous ne pouvez pas faire autrement. Autant qu'au début ça coulait vers l'extérieur, autant ça coule maintenant vers l'intérieur. Que vous soyez debout ou couché, tête en haut ou en bas, rien n'y aide.

Et si comme moi, vous êtes au jour de votre prise quotidienne d'antihistaminiques, vous n'avez qu'à attendre que ça passe. Espérer, de préférence allongé, car parfois ça aide un peu. L'allergologue que je consulte affirme qu'il n'y a pas que moi le prétend, et pourtant  elle n'y connait pas d'explication.


Samedi, j'ai eu froid, très froid, glacial même, ce qui m'a fait espérer que c'était une grippe. Que nenni. Je n'avais pas de fièvre. 


Dimanche, des douleurs de plus en plus fortes sont venues s'installer, me faisant penser à tout d'une otite à une pneumonie. Le dos, non, les os de la colonne vertébrale, me brûlaient. Mes dents dévitalisées me faisaient mal. Mais toujours pas de fièvre! Alors, c'était toujours cette satanée crise d'allergie. Je commençais à me demander combien de temps cela allait durer, car d'habitude cela ne prend que deux jours de ma vie. J'ai fait annuler par DD une invitation à déjeuner chez des amis - je n'aurais pas tenu le coup - et pourtant je m'étais fait une joie d'y aller.


Lundi pas d'amélioration en vue. Alors j'ai appelé le médecin, mais comme je m'y suis prise un peu tard, je n'ai eu un rendez-vous que pour le mardi soir, ce qui  finalement n'est pas si mal, comparé aux endroits où il faut prendre ses rendez-vous des mois à l'avance.

Mardi je me demandais comment j'allais faire pour avaler ne serait-ce que ma salive, car cela faisait affreusement mal. Pour un peu j'aurais hurlé de douleur chaque fois. Mais comme il n'y avait personne pour m'entendre, j'ai estimé que ce n'était pas la peine de perdre le peu de force qu'il me restait à me plaindre. D'ailleurs, ça ne soulage pas. Ou peut-être que si mais sûrement moins que s'il y a quelqu'un pour vous écouter.


Heureusement je ne pouvais plus me voir, car grand-père me sortait des yeux rouges comme le diable, et collait les cils du haut à ceux du bas, m'enfermant sur moi-même et cette foutue petite crise d'allergie.


Le médecin m'a mise sous corticoïdes. Il n'y a que ça qui peut vous aider, et pourtant c'est un médicament à éviter, autant que possible.

Mercredi matin, après une nuit à perdre des litres d'eau, je pouvais de nouveau avaler sans trop souffrir.  J'ai réussi à décoller les yeux avec un peu d'eau tiède, et j'ai pu voir que le diable commençait à se retirer. Le blanc de l'œil n'était plus rouge carmine, mais seulement rose, strié de rouge. J'avais un mal de tête carabiné, et je toussais toujours beaucoup. Grand-père remontait encore au grenier, un peu moins que la veille, fatigué de ses efforts, peut-être.  Moi aussi.


Jeudi, septième jour de souffrances. Je me suis réveillée les yeux fermés, collés par le grand-père, ce qui est un comble quand on a passe la nuit sans fermer l'œil, éventuel inconvénient des corticoïdes.  Grand-père, ce petit chenapan, avait aussi vidé un tube de colle dans chaque narine, et un troisième dans la gorge, et à un moment, un très long moment, j'ai cru que j'allais suffoquer. Je me suis levée, car je n'avais pas envie de passer les derniers moments de ma vie dans un lit.


Dans la journée, mes contacts téléphoniques étaient de plus en plus nombreux à me demander comment j'allais, ma voix n'étant pas comme d'habitude. Je l'ai usée à expliquer ce qui se passait. 


Aujourd'hui, vendredi, en début d'après-midi la semaine sera bouclée. Je suis quasi aphone. (Heureusement on n'a pas besoin de parler pour écrire, mais je ne sais pas comment faire pour appeler le médecin...)


Je  ne vous dis pas "à demain", mais "à un des ces jours, peut-être".


N'oubliez pas d'aller voter dimanche!

mercredi 18 avril 2012

Stop aux arnaques

J'ai été contactée ce jour, vers 14h30, par un homme qui se prétendait s'appeler Monsieur Floran (ou Florian (?), peu importe) et d'appeler de la part de la Direction Générale des Impôts au sujet d'une saisie pour cause de non paiement.

Sentant l'escroquerie à l'autre bout du fil, je l'ai fait savoir à l'homme qui appelait d'un numéro caché, qui parlait un français correct avec une voix cultivée, et qui finalement n'avait commis que deux erreurs, à savoir parler de la Direction Générale des Impôts - on parle aujourd'hui des Finances Publiques - et de m'appeler moi!

Ce cher Monsieur Floran (?) m'a raccroché au nez en me menaçant "alors vous allez voir ce que vous allez voir!"

C'est vrai, j'ai commis une erreur, mais je me pardonne, je suis malade et épuisée. En fait, j'aurais du laisser Monsieur Floran (?) développer sa stratégie afin de le coincer, car j'en ai tellement marre de toutes ces tentatives d'escroquerie qui fleurissent toujours plus en période de crise, une époque où les gens sont souvent très vulnérables.

En tout cas, j'ai avisé le Centre des Finances Publiques, oralement et par écrit, afin que leurs services puissent tenir les contribuables au courant de cette peut-être nouvelle forme de tentative d'arnaque.


Maintenant vous aussi, vous êtes au courant. Alors, faites gaffe!

vendredi 13 avril 2012

Silhouette

S'il est une silhouette que j'apprécie beaucoup parmi tous les châteaux d'eau décorés que j'ai vus jusque ce jour, c'est bien celle d'Andé.

Je vous ai déjà montré son blason il y a près de quatre ans, mais pour moi ce château d'eau vaut bien une seconde publication.

Si je l'aime plus que ceux avec des motifs ruraux, c'est justement pour sa sobriété, et ses couleurs qui se fondent dans le paysage quand il fait beau.

Les deux photos ne sont pas mal non plus. Je peux le dire sans fausse modestie, car elles ne sont pas de moi.



jeudi 12 avril 2012

Derrière les barbelés

Si nous préférons les petites routes, c'est parce qu'on peut y faire des rencontres. Pas chaque fois, malheureusement. Ou peut-être heureusement, car on risquerait de finir blasés.

Le weekend de Pâques nous avons eu de la chance. Dimanche, c'était le faisan vénérable qui faisait le beau, samedi j'ai aperçu un chevreuil au loin.

Lui aussi nous a vus, il a dressé ses grands oreilles, autrement il n'a pas bougé, se sachant sans doute protégé par les barbelés entre lesquelles j'ai réussi à le viser.

Et vous voudriez encore qu'on prenne les grandes axes où on ne voit que des automobilistes pressés d'arriver à l'hôpital ou au cimetière.


mercredi 11 avril 2012

Oh la belle bête

Nous étions sur une petite route que j'ai découverte il y a quelques années, et que nous prenons maintenant systématiquement à la place de la route "normale" quand nous avons à nous déplacer dans ce coin-là.

Soudain j'ai aperçu, sur notre gauche, un grand oiseau. Une sorte de faisan. De cette variété je n'en avais vu qu'un autre auparavant. C'était au mois de juin de l'année passée.

Celui-ci n'avait pas peur de nous. Il occupait même toute l'étroite chaussée, allant de gauche à droite, et de droite à gauche, nous empêchant d'avancer. Le klaxon n'avait aucun effet sur lui.


J'ai même pu descendre de la voiture pour le suivre à pied. Pour un peu j'aurais pu  l'attraper.



Au moins lui tirer la queue.

mardi 10 avril 2012

En voie de disparition

Les châteaux d'eau sont une espèce en voie de disparition, car l'eau sera de plus en plus distribuée par des systèmes de pompage.


Mais avant de disparaître complètement, certains ne font que rapetisser, tel celui de St Arnoult qui essaie de se cacher dans la verdure.

dimanche 8 avril 2012

Ressuscité

On ne s'attend pas vraiment à trouver une statue de Jésus dans un environnement de bric et de broc, mais pour les chrétiens il n'y a rien de surnaturel dans ce Dieu bénissant un dépôt des compagnons d'Emmaüs.  Je crois même que cela aurait été une place tout à fait naturelle pour Lui déjà de son vivant.


***

Photo prise début mars par DD. Vendredi dernier j'ai vidé sa carte mémoire, et je l'y ai trouvée. Pas mal pour Pâques, non?

***

Message semi-automatique préparé vendredi. Je tâcherai de ne penser ni travail, ni informatique pendant le weekend, mais je sais déjà que c'est fichu, car ce samedi j'ai un rendez-vous pour le boulot. Il est bien envahissant, je trouve.


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Joyeuses Pâques - Glad Påsk - Hyvää Pääsiäistä - Happy Easter - Buona Pasqua - Frohe Ostern - Felices Pascuas 

vendredi 6 avril 2012

Le je ne sais quoi

Ca y est!

Hier j'ai fini les murs de l'ancien débarras, ex chambre d'ami, futur je ne sais quoi au bout du couloir.

J'ai aussi raclé le pot de peinture couleur meringue, ce qui veut dire que je ne pourrai pas faire de retouche, si cela s'avère nécessaire.

Aurai-je la capacité et le temps de fabriquer un canapé, ou vais-je plutôt opter pour un placard, afin de faire de cette pièce un dressing-garde-manger?

La dernière solution serait idéale, vue que la pièce se trouve à proximité de la salle de bains, dont les travaux n'ont pas encore commencé, et qu'elle n'est pas, non plus, très éloignée de ma minuscule cuisine, quasi sans placards.

Le temps apportera bien une solution à qui sait l'écouter sans être trop pressé.

jeudi 5 avril 2012

De l'eau pour la ville

Avant qu'elle ne disparaisse de mes fichiers, voici une vieille photo (elle date de novembre 2011), d'un château d'eau dieppois, prise à la volée en entrant dans la ville  par l'avenue des Canadiens.

Un décor un peu plus urbain que sur la plupart des châteaux d'eaux de ma collection. Ou les voiles des drakkars des vikings, peut-être. Avec un peu d'imagination on y voit ce qu'on veut.

mercredi 4 avril 2012

Est-ce le même?

L'été dernier, au mois de juin, je suis passée devant un château d'eau qui m'a dit: Attention, à surveiller, je vais être peint!

Ferait-il ou non partie des châteaux d'eau décorés, je n'en savais rien, mais j'avais bien envie d'y retourner un peu plus tard pour voir.

Ce que je ne fis pas! Sans doute par manque de temps.

Mais en ce début de mois de mars qui vient de se terminer, en allant vers Bolbec par des petites routes, je vis au loin un château d'eau qui paraissait décoré. Je ne pouvait pas bien le voir, il était si loin.

Au retour, j'ai pris une autre petite route dans l'espoir qu'elle me conduirait au château d'eau que j'avais aperçu, et  je ne me suis pas trompée, il était bien là, et il était bien décoré.

 Il n'était pas facile à photographier de la voiture, il y avait pas mal de circulation sur la petite route (je me rappelais avoir eu quelque mal la fois précédente aussi), et je ne pouvais pas m'y garer plus de cinq secondes.

Est-ce le même château d'eau? Je pense que oui, bien que des détails diffèrent entre les deux prises. Sans doute venais-je à l'opposé de la première fois.

Si ce n'est pas le cas, j'ai encore un château d'eau à vérifier dans le secteur...

Ramassage de pommes (à cidre?) et labour à l'ancienne. Telles sont les deux mamelles du château d'eau de Gonfreville Caillot.

C'est d'ailleurs assez amusant, les châteaux d'eau décorés présentent en général des motifs anciens. Je n'y ai encore jamais vu quelque chose d'ultra moderne.

mardi 3 avril 2012

Arnaque bleu-blanc-rouge

Hier j'ai reçu un courrier qui à premier abord paraissait officiel, vue la carte de France sur fond bleu et rouge, affichée tout en haut de la page.

Mais le courrier n'avait rien d'officiel du tout; je le connais, car des lettres dans le même style j'en ai déjà reçu au moins une dizaine, peut-être plus, toutefois sans l'ajout bleu-blanc-rouge.

La lettre qui ne venait pas d'une instance officielle française est une arnaque, une escroquerie de plus.

Pour 958€/an on peut s'inscrire sur le Registre Internet Français, et les sous vont à Deutscher Adressdienst GmbH.  Y vont aussi tous les autres sous qu'on sera éventuellement obligé de leur donner pour frais annexes etc. 

L'année suivante on paie pareil. Et ainsi de suite. Dans ce cas on s'est fait avoir. C'est tellement facile, il suffit de mettre la feuille avec les éléments qu'on a vérifiés et peut-être rectifiés dans l'enveloppe jointe à l'envoi et poster le tout. On peut même répondre par fax.



Savez-vous ce que j'ai fait? J'ai retourné l'enveloppe - timbre prépayé - avec un petit mot   gentil qui dit ce que je pense.


Ils ne méritent pas mieux qu'une pèque dans la goule, ces margoulins.


***


Le logo du gouv.fr est une Marianne blanche sur fond bleu et rouge.

lundi 2 avril 2012

Des œufs au thon

Des œufs au thon, voilà une entrée facile et à la portée de tout le monde, car n'avons-nous pas tous quelques œufs dans le frigo, et au moins une petite boîte de thon dans le garde-manger.


Si toutefois il y a quelqu'un, une exception donc, qui ne connait pas la recette, la voici.

Faire bouillir des œufs jusque ce qu'ils soient durs. (La durée dépend de leur température, mais sortis directement du frigo, il faut compter une dizaine de minutes, chrono en main.)



Une fois cuits, à savoir une dizaine de minutes plus tard, les plonger dans de l'eau froide afin d'avoir moins de mal à les manipuler. Un œuf chaud, ça brûle les doigts quand on les écale. (On peut verser l'eau chaude sur du pissenlit ou d'autres mauvaises herbes qui poussent dans le gravier, c'est un excellent désherbant, et en plus pas toxique du tout.)



Couper les  œufs en deux et s'apercevoir qu'on a par la même occasion coupé une ancienne future poule (ou coq) en deux. Se traiter d'assassin - ou ne pas le faire, car de toute façon elle - ou lui - était déjà cuite. Se réjouir de savoir qu'on ne peut pas assassiner une seule en même future poule plus d'une fois.


Ecraser les jaunes d'œuf à l'aide d'une fourchette. Il n'est pas nécessaire d'y mettre toute sa hargne, car cela peut rester assez grossier.


Pendant ce temps, les blancs d'œuf ont le temps de refroidir. Putain d'embryon qui est encore là à me narguer! (Excuse my French, dixit Jean Dujardin à la cérémonie des Oscars.)



Faire une bonne mayonnaise maison. Elle est toujours meilleure que ces trucs sucrés qu'on peut acheter au supermarché.



S'apercevoir qu'on n'a plus de thon à la maison. Oups! Panique? Non!

Aller cueillir quelques tiges d'oignon perpétuelle qui pousse à coté de la porte-fenêtres. Les passer sous l'eau (pour le cas où un chat aurait fait pipi dessus) et les couper en moyennement fines cercles. 

Regarder dans le frigo, et y trouver un vieux bocal de tomates séchées. En sortir quelques unes, et les couper en menus morceaux.

Mélanger avec la mayo et les jaunes d'œuf écrasés. 



Farcir chaque demi œuf avec la mélange ainsi obtenue, et les poser tous sur un fond de tiges d'oignon perpétuelle (pour la stabilité).



A condition d'avoir quelques crevettes roses qui traînent dans le frigo depuis le plateau de fruits de mer de veille, on peut en décorer chaque moitié d'œuf, mais ce n'est absolument pas obligatoire. Avec tout le thon qu'on a déjà mis, cela devrait suffire.

Voilà comment j'ai inventé les œufs durs à la mayo façon hpy.