samedi 27 février 2010

Campagne pour les Restos du Cœur

J'ai été sollicitée pour participer à une campagne de dons au Restos du Cœur.

Je ne vais pas le faire. Et comme j'entends déjà les commentaires de certains, je vais vous dire pourquoi.

Parce que - comme le dit Cergie, mais dans d'autres mots, dans un commentaire sur Impressions - c'est une campagne publicitaire qui ne coûte pas cher aux deux marques "donatrices" qui se feront citer sur des milliers de blogs.

Je n'ai aucunement envie que mon blog devienne un support publicitaire pour ces deux marques que je n'affectionne pas particulièrement, surtout si je ne suis pas payée - un peu au-delà de ma juste valeur - pour cela.

(Si les marques en questions veulent que j'y participe, qu'elles me contactent, et on discutera affaires.!)

Et les Restos du Cœur alors? N'ont-ils pas besoin de support? Certainement oui, mais il serait plus important à mes yeux d'arriver à une situation où nous n'aurions plus besoin des Restos du Cœur.

Que les gens qui travaillent touchent une rémunération correcte, que ceux qui ne trouvent pas de travail s'en voient proposer un dans leur compétences et pas loin de leur lieu d'habitation. Et que ceux qui ne veulent pas travailler (car il y en a aussi) se débrouillent!

Ne serait-ce pas mieux que d'être toujours obligés de donner et recevoir des aumônes?

Voilà pourquoi je continuerai de pousser un coup de gueule de temps en temps, plutôt que de me mettre à contribution pour une cause (publicitaire) à laquelle je n'adhère pas pleinement.

Je vais malgré tout envoyer un lien vers ce post à l'adresse qui comptabilise les repas à donner au Restos du Cœur. Qui sait, cela marchera peut-être...

vendredi 26 février 2010

Portrait de Fous-le-Camp

Fous-le-Camp s'incruste. Je le soupçonne de passer plus de temps à roder autour de la maison que chez lui.

Quand il me voit il ne tient pas en place. Il fait tout ce qu'il peut pour que je le remarque. Il fait même le clown, car il a lu quelque part qu'il est bon de faire rire les femmes quand on veut les séduire.

Mais Fous-le-Camp n'arrive pas à faire rire Moumoune et Nefertiti. Elles restent de marbre, elles.

jeudi 25 février 2010

Maisons de pêcheurs

La plus connue des franco-finlandaises de Fécamp habite rue Théagène Boufart, à droite, un peu avant l'angle que celle-ci forme avec la rue du Domaine. De l'autre côté la rue a pris le nom du fondateur de la Bénédictine et s'appelle par conséquent Alexandre Legrand.

La plus connue des franco-finlandaises de Fécamp s'appelle Anja et elle est peintre, mais pas en bâtiment. Son atelier se trouve dans une maison de pêcheur et je suis à ma honte obligée d'avouer que cela fait un bail que je ne suis pas allée lui dire bonjour. Un bail de 3 - 6 -9.

La plus connue des franco-finlandaises de Fécamp pourrait être un sujet pour mon blog; il faut juste que je prenne le temps d'aller la saluer, mais je suppose qu'il faudra attendre un peu avant que je ne montre mon "Portrait d'Anja".

mercredi 24 février 2010

Portrait de Moumoune

Quand je dis à Moumoune qu'elle est la plus belle et la plus douce des Moumones elle réfléchit.

Elle se dit que j'exagère, qu'elle ne peut pas me croire, mais en même temps je pense que ça lui fait plaisir.

Et peut-être, peut-être sent-elle qu'au moins je suis sincère.

mardi 23 février 2010

En promenade

Juste une photo de la rue St Etienne là où elle rejoint celle de la mer à l'endroit même où celle-ci part dans trois directions. Au fond le haut du Palais Bénédictine. Grâce à son fondateur, Alexandre Legrand, à sa famille et ses collaborateurs on peut trouver pas mal de maisons avec des détails architecturaux assez intéressants le long de nos petites rues.

C'est tout pour aujourd'hui car je bosse encore comme un chameau - ou comme deux dromadaires.

Au fait, ne serait-ce pas chouette de voir des chameau garés à la place des voitures? Ou tout simplement des chevaux? Cela pourrait vouloir dire que nous aurions enfin appris à prendre notre temps au lieu de courir après celui perdu dans les embouteillages...

Villa Emilie, rue Théagène Boufart

lundi 22 février 2010

Des raffinerirades

J'avais fait le plein de ma petite voiture à 1.04 et quelques dans l'après-midi, et j'avais été contente de l'avoir fait en voyant d'autres stations service (où est le service d'ailleurs?) afficher 1.06, 1.09, 1.11 et quelques, car en bonne cauchoise d'adoption je sais qu'un chou est un chou.

J'étais heureuse de vivre dans une région où il y a des raffineries de pétrole, car comme on me l'a si souvent dit, les carburants deviennent plus chers quand il faut les transporter loin des lieux de raffinage.

Mais quand j'ai vu la station Total qui se trouve au pied de la Raffinerie de Normandie afficher 1.18 et des poussières je me suis dit que le transport avait bon dos - comme d'habitude d'ailleurs.

J'avais déjà constaté le phénomène près de la raffinerie Total de Lyon Feyzin un jour où je descendais vers le sud.

Si dans ma région on veut acheter du gasoil moins cher que la moyenne il ne faut pas s'adresser à une station Total - ce sont les plus chères.

C'est pourquoi je pourrais souhaiter la fermeture des raffineries de la marque, que ce soit à Dunkerque ou ailleurs, mais si Total ferme, il y aura bien une autre raffinerie pour devenir la plus chère, alors tant qu'à faire, gardons nos vieilles habitudes, et évitons toujours la même marque.

vendredi 19 février 2010

Portrait de Nefertiti

Nefertiti a été malade. Elle souffrait sans doute d'une gastro, elle était fatiguée et ne faisait que dormir. Nous sommes donc allées chez le vétérinaire toutes les deux, et aujourd'hui elle va mieux. Moi aussi.

jeudi 18 février 2010

L'inattendu

Avec le froid que nous avons eu, et que nous avons encore, je ne m'attendais pas du tout à voir un crocus jaune dans le massif à fleurs en travaux. Je ne pensais même pas qu'il y en avait encore, mais apparemment je n'ai pas réussi à retirer tous les bulbes et toutes les racines de la terre!

C'était donc une belle surprise de voir cette fleur jaune hier midi quand je suis sortie pour aller à la boîte aux lettres. Il a même fallu que je fasse demi-tour pour prendre mon appareil de photo afin d'immortaliser le miracle.

J'ai ensuite fait un tour dans le jardin, mais je n'en ai pas vu d'autres. Par contre, il y a bien des feuilles de jonquilles, de tulipes et d'autres plantes qui sortent de terre.

Et bientôt ce sera la corvée des mauvaises herbes...

***

A la Sainte Bernadette, souvent le soleil est à la fête!

mercredi 17 février 2010

-3,2° le matin

Nous n'avons plus eu de chute de neige depuis jeudi dernier, à part quelques flocons bien humides l'autre jour, mais la neige reste au sol, au moins par endroits, et on n'a pas vraiment l'impression que l'hiver va s'arrêter un jour.

Pourtant, avec le soleil qui brillait timidement hier, on aperçoit mieux les jonquilles et d'autres tulipes qui pointent leur nez.

Il y a de l'espoir dans l'air, et ce malgré nos -3,2° de ce matin en bord de mer.

mardi 16 février 2010

Portrait du Rouquin


Je m'entraine pour devenir portraitiste ès chats.
(Cela me réussit mieux que portraitiste d'humains.)
Voilà donc le Rouquin.
Il me reluquait derrière la fenêtre de mon bureau.
(Qu'est-ce qu'ils ont tous à venir me voir?)


lundi 15 février 2010

Eliane Pradel

J'avais reçu, il y a quelque temps déjà, un carton d'invitation virtuel au vernissage de l'exposition de peintures d'Eliane Pradel.

Vendredi soir, après une journée de travail tellement remplie que je n'ai eu le temps de visiter aucun blog ami, j'ai entraîné un DD pas récalcitrant du tout vers la magasin de sa belle-sœur où a lieu l'exposition.

Toute la jet set de Fauville en Caux et des environs était présente, y compris le conseiller régional Yvon Pesquet, ainsi que son collègue, confrère et/ou concurrent (au choix) Jean-François Mayer arrivé trop tard pour figurer sur la photo.

L'artiste se prêtait gracieusement aux demandes des nombreux photographes présents.

Un des photographes - pas très content - se fit tirer le portrait par une paparazza qui se trouvait sur les lieux. (J'espère qu'il n'y aura pas de poursuites judiciaires, et je promets de retirer la photo, ou au moins de mettre un cache dessus, si jamais le photographe me le demande par lettre recommandée avec accusé de réception...)

Derrière lui on peut voir, à l'extrême gauche, le tableau en feu, vendu à l'issue du vernissage, à un couple d'admirateurs des œuvres d'Eliane Pradel.

Et voici deux autres exemples du talent de l'artiste yebleronnaise. Moi-même, je préfère ces tons plus bleus, mais cela n'est sans doute une surprise pour personne.

dimanche 14 février 2010

A comme Amour et Amitié

God Alla Hjärtans Dag
Guten Valentinstag
Happy Valentine's Day
Hyvää ystävanpäivää
Joyeux St Valentin

vendredi 12 février 2010

La glisse

Hier nous avions entre 15 et 20 cm de neige en Pays de Caux, plus sur le littoral que dans les terres. L'hiver continue.

Tôt ce matin j'ai fait un tour sur les quais du Havre pour voir si ça glissait. Il valait mieux faire attention pour éviter de tomber dans l'eau.

Maintenant je me mets au travail - une pile de papiers m'attend.


jeudi 11 février 2010

Linna Normandiassa

Tuttavapiiriini ei kuulu kovin monta linnanherraa, mutta joitakin vuosia sitten sain kutsun Pierren taloon. Pierre kävi myös meillä vaikka meidän kivinen talomme ei ole linnan kokoinen.

Oikealta sivulta kuvattua rakennusta kutsutaan châteauksi, eli linnaksi vaikka se vaan on valtava kivinen talo. Vanha tietysti, rakennettu kalkkikivestä ja tiilistä. Vuosilukua en muista.

Talosta en nähnyt kuin sisäänkäynnin ja ison vastaanottohuoneen sekä valtavat kiviset raput jotka johtivat yläkertoihin. Keittiön näin vilahdukselta kun Pierre halusi keittää kahvit.

Sekä ulko- että sisäseinät ovat kivenkovat ja kovin paksut. Ulkokattoa on niin paljon että sen uudistaminen maksoi omaisuuden.

Kuten monet muutkin linnanherrat Pierre on maanviljelijä. Isästä poikaan.

***

Le château en pierre de Pierre en Normandie. Vu du côté droit.

mercredi 10 février 2010

A la soupe!

Une patate ou deux,
quelques petits poireaux
dans un bouillon de volaille.
Voilà une soupe
à poivrer
selon son goût.

mardi 9 février 2010

Just another cat

No time for blogging - too much work.
I have the feeling I'll be at a meeting for half of the day
and on the phone for the remaining two halves.

lundi 8 février 2010

L'échappé

Les doigts d'une main ne me suffisent pas pour compter les animaux domestiques, vaches, moutons ou autres, que j'ai pu voir se balader en liberté sur la voie publique. Je n'aurais peut-être pas besoin d'une calculette pour autant, surtout si j'ajoute l'autre main et les pieds.

Hier après-midi c'était un poney échappé de son enclos, et en quelque sorte je peux le comprendre, car il y avait plus d'herbe à brouter à l'extérieur que chez lui.

Nous avons fait marche arrière pour signaler sa sortie au propriétaire à qui je conseillerais de bien réparer la clôture, car maintenant que le poney sait - pour l'avoir essayé - que l'herbe est plus verte de l'autre côté, il n'arrêtera pas de vouloir y aller, entraînant, qui sait, les autres poneys et chevaux avec lui.

Et comme ça circule pas mal sur la petite route tout cela risque de mal se terminer.

vendredi 5 février 2010

La vie doit continuer

Je vais encore aller au contre-courant de tout ce qui se dit et par conséquent me faire des ennemis. Mais tant pis!

Depuis quelques jours on parle beaucoup de l'accident survenu au Concorde il y a dix ans, et accessoirement du terrain à Gonesse où l'avion s'est écrasé.

Une vente à la bougie du terrain n'a abouti à rien, car personne ne veut l'acquérir à cause de tous ces morts qu'il leur rappelle.

Pourtant le terrain se trouve en un lieu convoité, et le prix de mise en vente n'était pas énorme. Je l'aurais acheté si j'avais eu des projets dans ce sens et un banquier prêt à prendre quelques risques.

Aujourd'hui certains voudraient en faire un lieu de recueillement au frais d'une compagnie aérienne au bord du gouffre financier. D'autres le trouvent trop plein d'émotions pour y faire quoi que ce soit.

Mais où allons nous?

Des morts il y en a tous les jours et cela fait partie de la vie.

S'il fallait faire un lieu de recueillement de chaque endroit où quelqu'un est mort accidentellement on ne pourrait plus rien construire d'autre. Il faudrait fermer des portions de route, des routes entières.

Il faudrait boucher le tunnel du Mont Blanc et creuser un autre juste à côté.

Il faudrait interdire la pêche en mer à cause de tous les avions qui y sont tombés un jour ou l'autre. Surtout pas manger de crabes et autres animaux qui se délectent de cadavres (de poissons...).

Ma maison, il faudrait que je la ferme, car il parait - mais je n'ai jamais vérifié la rumeur - qu'un jour quelqu'un s'y soit pendu. Et puis? J'y dors si bien.

Mourir n'est plus autorisé. Mourir d'un accident c'est encore pire. Si en plus, il y a beaucoup de morts, c'est une catastrophe interplanétaire qui nous fige, qui apparemment nous rend incapables de faire autre chose que gémir.

Bien entendu, la mort d'un être cher est toujours douloureuse pour les proches, mais devons-nous pour autant prendre toute la misère des autres sur nos épaules pour ainsi nous empêcher de faire, de créer autre chose, de vivre?

Moi, je dis non. Acceptons la mort, car elle fait partie de la vie depuis que nous sommes nés. Comme certains disent, c'était écrit. C'était l'heure. The show must go on!

Que la mort soit douloureuse pour ceux qui restent, c'est tout à fait normal, mais rendons la de nouveau acceptable, s'il vous plaît. Qu'elle ne nous bloque pas, que la mort d'autrui ne nous empêche pas de vivre ce qui nous reste de notre vie à nous. (Cela peut même être d'aider ceux qui ont survécu à une catastrophe.)

Et rappelons-nous qu'il est plus important de nous souvenir de la vie de nos morts que de leur décès. Au fait, que faisions-nous pour eux quand ils étaient encore en vie?

***

La petite église qui se trouve sur la photo, qui n'est pas terrible d'ailleurs, n'a rien à voir avec mon message. Elle est là pour me rappeler la différence entre Bertreville et Bertheauville, deux communes assez proches l'une de l'autre et que je confonds toujours, alors que j'aurais besoin de les connaitre pour ce que nous pourrions appeler des raisons professionnelles...

***

Et puis je finis par présenter mes condoléances à Jean-Paul qui vient de perdre sa mère.

jeudi 4 février 2010

Parole d'automobiliste

Une fois récupérée du bord de la route par le vaillant DD, nous rentrons à la maison et décidons d'aller déjeuner chez Madame A à Duclair.

A peine partis, la voiture (n° 1) nous signale que nous avons une roue crevée. Comme il n'est pas très tard et comme notre pneumologue préféré a fermé boutique depuis maintenant plus d'un mois, nous décidons de retourner au même garage où j'ai déposé voiture n° 2 tôt le matin.

Au garage on nous répond que le samedi seuls les travaux programmés sont faits. Nous aurions du prévoir et prendre rendez-vous!

On ajoute un peu d'air dans le pneu, on vérifie gentiment la pression des autres, et on nous dit: A lundi!

Nous reprenons la route et quelques kilomètres plus loin la voiture nous dit STOP! Roue crevée. On le savait, et à défaut de quelqu'un qui aurait pu faire la réparation en un tour de main, nous avons sorti la roue de secours et tout l'attirail qui va avec.

La roue sifflait. L'air sortait d'un trou béant de 2 à 3 mm de diamètre. Si nous avions attendu le lundi, nous aurions retourné au garage sur la jante.

Les rendez-vous, pris longtemps à l'avance, sont demandés par toujours plus de prestataires, mais comment prévoir une panne, un pépin, une crevaison?

Heureusement Madame A, chez qui nous n'avions pas pris la peine de réserver une table, ne nous a pas refusé l'entrée au restaurant, et nous avons pu déguster une tranche de foie gras préparé par Monsieur A, avant de passer au plat de résistance et ce qui suit.

Sur la route de retour nous passons par un pneumologue qui répare et remet en place la roue en moins de temps qu'il n'en faut pour discuter de tout et de rien avec le patron, notre nouveau pneumologue. Son atelier ne désemplissait pas. Il a pourtant pris la peine de faire la pression des cinq roues, et il a bien fait, car au garage précédent on a du se tromper et retirer de l'air au lieu d'en remettre....

Et on se demande pourquoi je râle!

mercredi 3 février 2010

Parole de piétonne

Tôt samedi matin j'ai conduit la voiture n° 2 au garage et j'ai commencé à rentrer à pied en attendant que DD qui était encore sous la douche au moment de mon départ vienne me chercher.

Le vent était froid et me faisait pleurer. On voyait quelques grêlons sans doute tombés pendant la nuit.

La plupart des automobilistes que je croisais s'écartaient - car il n'y a pas de trottoirs le long de la départementale - mais une petite camionnette blanche me frôlait tout en klaxonnant bruyamment.

Peut-être des gars pressés d'aller travailler au noir, et qui se demandaient ce que je faisais là, en train de photographier le paysage.

mardi 2 février 2010

6/12


Kuka olisi uskonut että tammikuu loppuisi niin kuin se oli alkanut!

Sunnuntaiaamuna satoi taas lunta. Meillä runsaat viisi senttiä ja siitä oli vielä osa maassa helmikuun ensimmäisenä maanantaina eli eilen. Juuri nyt ulkona on +4°, joten lunta ei ole enää yhtä paljon.

Kuva on otettu tavallista aikaisemmin aamulla jotta kaupungin valoista osa olisi näkyvissä.

Autoni jäljet vievät poispäin, eivät takaisin. En saanut sitä viime yönä ajettua mäkeä ylös. Parin ensimmäisen metrin jälkeen se alkoi liukua taaksepäin. Ei ihme kun siinä on ympärivuotiset kesärenkaat!

Maassa näkyy myös risukasoja. DD on sahannut oksia puista jotta kaupunki näkyisi paremmin tässä kuvasarjassa.

Kukaan ei ole koskenutkaan kukkapenkkiin...


lundi 1 février 2010

De l'or


Ce jour-là l'horizon était couvert d'une fine couche d'or.

La mer aurait pu être d'huile, mais aucun commandant de navire n'osait abîmer la dorure par un rejet illicite d'hydrocarbures .

Illusion, tout cela.