mercredi 1 octobre 2008

Les péniches


A une époque pas si lointaine on construisait des navires aux ACH (Ateliers et Chantiers du Havre). Le dernier navire, un chimiquier pour l'armement norvégien Stolt, qui y était en construction a pourtant du être terminé ailleurs, et les ACH ont été liquidés en 1999.

D'autres entreprises sont aujourd'hui implantées sur le site, et à côté du slipway des péniches attendent la démolition.

15 commentaires:

Webradio a dit…

Bonjour Hpy !
C'est toujours triste un port qui se meurt...
Et ces péniches semblent être dans un couloir de la mort...
Jolie photo, car elle nous raconte la vie, mais triste tout de même...

claude a dit…

Ben oui ! C'est une toute autre époque que l'on vit. Une époqie on démolit, on ne cultive plus les champs, où on ne fabrique plus rien puisque toute se barre en Chine et ailleurs. Une époque où l'on donne beaucoup d'argent à ceux qui ne veulent rien foutre, et surtout tout ça avec notre pognon.
Pour mes petites économies, c'est normal que je m'inquiète. On met des années à se faire un p'tit pactole et tout va mal, d'abord la bourse puis on veut nous ponctionner encore. Purée! On est déjà, en tant qu'artisan, les vaches à lait de l'état, et au point de vue privé, ça va faire pareil. Si au moins, les gens avaient l'idée de les dépenser dans le mobilier !!! Bonne journée à toi aussi !

PeterParis a dit…

Ce matin ce n’est pas ton blog qui peut nous rendre plus optimiste ! (Ou est-ce que je peux trouver des bonnes nouvelles en ce moment ?)

KooTee a dit…

Historiaan siirtyvää ympäristö kannattaakin kuvata, sitä muutaman vuoden kuluttua miettii... mitähän tässäkin oli?

hpy a dit…

Peter, tu as mal lu! "D'autres entreprises sont implantées sur le site!" N'est-ce pas bien? Tu dois être influencé par ce que tu entends aux informations...
La démolition n'est pas réservé aux pays autres, nous aussi, nous pouvons travailler dans ce secteur, récupérer les matériaux, et nous en servir. Ou les vendre aux pays autres.

Claude, et surtout qu'on nous dit qu'il faut qu'on fasse notre retraite, vu que personne ne pourra nous la payer...

Webradio, on revit sur la mort, c'est ça aussi, la vie. Car nous ne sommes pas éternels comme les neiges de Kilimandjaro, et celles-là ne le sont plus. Donc, tout va bien.

alice a dit…

Et moi qui rêvais de vivre sur une péniche...
J'ai longtemps habité Lorient, alors quand tu parles de la crise des ports de commerce/pêche/militaire/construction navale, je vois très bien de quoi il s'agit! D'autres activités se mettent en place mais cela demande du temps et pendant ce temps, il faut vivre...
Je pense que "mes" piquets sont en châtaignier, c'est un bois très dur qui ne nécessite pas de traitement. On s'en sert depuis toujours pour faire des tuteurs. Mais c'est un mauvais bois de chauffage car il "pète"!
Et je peux toujours me tromper.

Cergie a dit…

Ben ça alors ! Je me croirais à Conflans !
Les péniches ne sont pas de très bons bateaux pour prendre la mer pourtant...
;o)

Cergie a dit…

Faut bien les démonter, j'ai jamais vu de cimetière de péniches

hpy a dit…

Kootee, tama paikka on heraamassa, se on ollut tyhjana liiankin kauan, mutta nykyaan siella puretaan proomuja sen sijaan etta siella rakennettaisiin laivoja. Noin suuresti ottaen...

Alice, je te promets, on ne v a pas démolir toutes les péniches pour que tu t'en trouves une!

Cergie, jetons une péniche à la mer, comme une bouteille, avec un message pour celle ou celui qui le trouvera.

KooTee a dit…

No, jokatapauksessa tämä vaihe satamaa on nyt ikuistettu =)

Mick a dit…

Again and again I say it, "your documentary style of photography is superb". The worth of these images 100 years from now makes them culturally invaluable as well.

hpy a dit…

Mick, your comments are quite extraordinary! ;-)D

Alain a dit…

Les rats quittent les péniches quand on les démolit...et les banquiers leurs banques quand ils ont fait leur temps et qu'on a plus besoin d'eux.

Olivier a dit…

pour moi péniche = l'homme de Picardie..

Pas a pas a dit…

Patrick HIERARD
je fais ma pub pour mon premier roman
bonjour

"Quand je serai grand, je ferai Berbère"
Éditions du Masque d'Or
COLLECTION PAROLES D’HOMMES

Laissez vous entraîner par la saga de Maurice, l’orphelin de Lorraine, qui débarque au Maroc en 1926 pour y mater la révolte des tribus d’Abdel Krim, mais Maurice déteste cette guerre coloniale. Suivez-le quand il s’opposera à l’armée américaine de Patton qui débarque au Maroc pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il aime passionnément le Maroc, mais Maurice sera pris dans la tourmente de ce pays qui cherche son indépendance. Meurtres sauvages d’Européens, réponse tribale de l’armée française et c’est l’engrenage dramatique. Il échappera à des attentats, il ne vivra plus qu’avec son revolver et sa grenade dans la poche.
Le calme revient, Maurice trouve sa voix au Sud marocain en aidant les fellahs à développer leur agriculture, il est aimé et respecté, Maurice c’est sur mourra au Maroc.
1965, le retour mystérieux vers la France : il découvre l’affreux nom de « Rapatriés », il est un étranger dans son propre pays, il souffre et sa famille aussi. C’est alors la longue adaptation à son nouveau pays. Maurice a 60 ans…
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