Qui va piano...
On peut, il me semble, voir que le terrain est en pente sur la gauche de la photo. La pile de bois descend vers le terrain voisin.
Avant, plus on se déplaçait vers la droite de la photo, plus le terrain descendait. Maintenant ce n'est pas plat, mais presque.
Je ne compte plus le nombre de brouettées d'argile et de marne déplacées par le pauvre DD à ces moments de liberté. Liberté sous condition de bosser...
Quelques touffes d"herbes poussent là où je vais étaler du gros gravier, comme je l'ai déjà fait autour du pot récupéré chez le Bouc.
Lui est sa femme Brigitte voulaient s'en débarrasser, et je pense qu'ils étaient bien contents quand DD l'a mis dans notre voiture. Il faut dire qu'il est lourd, très lourd même, étant sans doute fabriqué en béton ou quelque chose de similaire.
Je lui ai juste donné une couche de peinture non uniforme afin de le rajeunir un peu, avant d'y planter des bulbes de glaïeuls sous les pétunias achetés pour l'occasion.
La boule dorée à sa gauche fait partie de la déco. Celui qui tente de la soulever sera probablement étonné par son poids. Elle ne s'envolera pas facilement.
La terrasse prend forme. Elle est loin d'être prête, mais on peut déjà s'y promener.
Plus les travaux avancent, plus je me rends compte que mon idée initiale sera modifiée tout au long de ces travaux. Je vois déjà les inconvénients d'un talus qui deviendrait de plus en plus haut, si la terrasse continuait en ligne droite vers la "forêt". Il va donc falloir en modifier le tracé, ou en faire deux!
Mais j'ai le temps. Le temps de cogiter, de changer d'avis, de visualiser les choses sur mon écran intérieur. Quelle chance qu'aucune entreprise n'ait voulu venir faire les travaux, car à faire trop vite, je les aurais sans doute ratés.
Aujourd'hui je suis contente de ce qui a déjà été fait.